La LPA de Lille dit n'avoir pas reçu assez de signalements pour ouvrir une enquête à Hellemmes. Néanmoins, les disparitions d'animaux dans les quartiers existent. Et peuvent souvent s'expliquer.
La vie du matou n'est pas un long fleuve tranquille. Bien au contraire, et c'est la LPA de Lille qui l'explique : « Ce sont parfois des décès par maladie, par empoisonnement involontaire ou volontaire, par maltraitance, etc. Ça peut aussi être un trafic d'animaux, vers un laboratoire. C'est valable aussi pour les chiens. » Mais rien de tout cela, pour l'instant, à Hellemmes, ni dans la métropole lilloise. « À chaque appel, on prend note. Si on reçoit beaucoup de signalements de disparition, on va voir sur place. Mais actuellement, ce n'est pas le cas. » L'enquête est possible, avec cette nuance que « la LPA n'est pas la police, les gens qui nous contactent confondent souvent ».
Côté police, justement, on disait, hier, n'avoir pas non plus été saisi de quelconques disparitions de chats à Hellemmes. Mais, là aussi, c'est un problème de réquisition : « Il faut d'abord que les gens fassent des mains courantes, avec des faits précis. »
samedi 13 septembre 2008
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